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Histoire Géographie et Education Civique
20 novembre 2010

Rencontre avec M. le Recteur au C3RF d'Angers

Depuis 2009, je suis en charge des élèves du C3RF au niveau collège. C'est le lieu de la diversité pédagogique et de l'adaptation à toutes les situations.

Nous avons eu l'honneur de rencontrer M. le Recteur, Madame l'inspectrice d’académie du Maine et Loire et  M. Olivier Gromy, l'Inspecteur de l'Éducation nationale en charge de l'Adaptation scolaire et de la Scolarisation des élèves Handicapés. C'est une grande reconnaissance pour notre centre. Je n'ai pas eu la chance d'être sur la photographie sélectionnée sur le site académique ou la presse locale !


_Visites_du_Recteur___Angers_04_10_2010_013

Lors de la visite, je donnais un cours avec deux des quatrièmes sur la monarchie absolue et avec d'autres élèves plus âgés sur les droits et les devoirs du citoyen. Le recteur m'a invité à continuer à "jongler" de la sorte entre les différents niveaux.
L'entretien indique que la vision du recteur tend vers  la  flexibilité comme la réponse adaptée aux différents élèves. C'est la voie à suivre dans toute institution scolaire.

Voilà un compte rendu de cet entretien sut le site de l'académie de Nantes

"Si le volume quotidien de cours n'est pas important, l'emploi du temps des jeunes patients est bien rempli, avec temps d'études, activités éducative ou sportives, séances de kinésithérapie et, pour les sujets en surpoids, cours de diététique.
La durée d'un séjour est en moyenne de trois mois. L'hétérogénéité des groupes et les difficultés scolaires que connaissent bon nombre d'élèves a conduit à restreindre le groupe d'élèves par classe. Le temps de concertation entre enseignants s'avère d'autant plus indispensable.
Les deux tiers des jeunes hospitalisés résident dans le Maine-et-Loire, les autres étant originaires d'un autre département de l'académie. Au cours de l'année scolaire 2009-2010, une moyenne de trente enfants et jeunes a suivi des cours au sein de l'unité pédiatrique, en majorité des écoliers et des collégiens mais se pose, en réponse à un besoin plus marqué, la question de l'hospitalisation et la scolarisation des élèves du second degré, en particulier les lycéens.
"

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